UN FILM DE EMMANUELLE BONMARIAGE

L’homme qui ne voulait pas lâcher sa caméra

“A 76 ans, Manu souffre de la Maladie d’Alzheimer. Alors que sa mémoire se délite petit à petit, sa fille dresse le bilan sur sa vie et son travail (souvent controversé). Avec chaleur et – compte tenu de la maladie de son père – plein d’humour.”

De Morgen

“Emmanuelle Bonmariage remplit les trous de mémoire de son père à l’aide d’archives et d’émouvantes rencontres, comme si elle rassemblait un puzzle livrant petit à petit la vérité sur ce père excentrique.”

Focus Knack

“Le film est (…) le théâtre d’une relation père/fille complexe mais vivante, pleine d’amour et de contradictions. Celle qui porte le nom de son père, qui hérite de sa caméra, le choisit comme premier objet, ou plutôt sujet de son oeuvre, faisant acte à la fois de mémoire et de transmission, entre souvenir et avenir. Un peu comme si comme ultime présent pour son père qui la perd, elle lui offrait sa mémoire sur grand écran.”

Cineuropa

“Passionnant”

Sylvestre Sbille dans l’Echo

Avec Manu, l’homme qui ne voulait pas lâcher sa caméra, Emmanuelle Bonmariage livre un film profond et multiple, à la fois portrait de cinéaste, oeuvre de mémoire, histoire d’amour filial, film héritage, sur les chemins de la mémoire d’un cinéaste – et d’un homme – hors du commun.”

Aurore Engelen dans Cinévox

“Le film passionne en ce qu’il est à la fois un hommage objectif à un immense artiste, d’abord technicien exceptionnel, qui a su dresser au cours des années un portrait incomparable de la Belgique. Mais c’est aussi une mise à plat où un homme amnésique est confronté à sa vie.”

Sylvestre Sbille dans l’Echo

“Manu dans les yeux de sa fille, un documentaire riche et émouvant qui même l’intime à l’universel”

Michaël Degré dans L’Avenir

“le documentaire Manu, l’homme qui ne voulait pas lâcher sa caméra dévoile le père spirituel de l’émission ‘qui vous déshabille’, dont l’influence perdure jusqu’au succès récent de Ni juge ni soumise. Retour sur le ‘cinéma direct’, et son réel plus fort que la fiction.”

Moustique

“Autant et même plus qu’un documentaire (très) réussi, Manu est un acte d’amour. Celui d’une fille pour son père cinéaste, une fille qui plonge dans la mémoire des films de Manu Bonmariage et qui le suit avec sa caméra jamais complaisante, d’un regard juste où l’affection ne devient jamais afféterie.”

Louis Danvers dans le Focus VIF

“Manu, l’homme qui ne voulait pas lâcher sa caméra est un film d’un grande justesse. Il parle de cinéma, de filiation, du temps qui passe, de la mort, de la maladie…”

Fabrice Kada pour Musique 3

“En faisant ce geste inconscient et spontané de me donner sa caméra, il me provoquait en quelque sorte. Je ne pouvais pas faire autrement que de tourner cet objet vers lui.”

Emmanuelle Bonmariage dans Bruzz

“Emmanuelle Bonmariage parvient… à interroger ce qu’est l’héritage et à affirmer sa place de cinéaste sans revendication ni règlement de comptes.”

Cinergie

“Manu est un film incarné, comme sont incarnés ceux de son protagoniste. Certaines oeuvres, très peu en fait, sont plus qu’utiles. Elles sont nécessaires. Indispensables même. Celle-ci en fait partie.”

Louis Danvers dans le FOCUS VIF

“Mais le bonhomme est un sacré caractère – on l’avait deviné. Et Manu semble fait de ça: de bondissements, de rebondissements, d’éclats et d’ébats.”

Elisabeth Debourse dans Paris Match

“Cadreur voyant et fameux réalisateur de nombreuses émissions « Strip-Tease », Manu Bonmariage se voit enfin consacrer un film. À l’heure de la maladie, Manu raconte la vie d’un homme de cinéma, qui fut plus que cela.”

Elisabeth Debourse dans Paris Match